Je débuterai cette série de résumés avec mon personnage préféré, Mata Hari.
Margaretha Geertruida Zelle est née aux Pays-Bas le 7 août 1876. Elle était la seule fille dans une famille de 4 garçons. Ses cheveux noirs d'ébène, ses yeux noirs et son teint olivâtre contrastaient avec ceux de la majorité des autres habitants de son pays, réputés blonds aux yeux bleus. Sa famille la surnommait M'Greet.
Elle vécut son enfance dans un milieu relativement aisé, son père étant propriétaire d'un lucratif magasin de chapeaux. Petite fille à son papa, il l'adorait et l'appelait son "orchidée parmi les boutons d'or".
Malheureusement, Adam Zelle (son père) fait faillite en 1889 suite à de mauvais placements à la Bourse. S'en suivit un divorce et tristement, du décès de sa mère en 1891. Sa mère décédée et son père parti à Amsterdam pour se "reconstruire", la jeune Margaretha s'installe chez son parain.
Dans sa nouvelle ville, Margaretha étudie pour devenir institutrice. Par contre, elle doit quitter l'établissement lorsque le propriétaire se met à la flirter impunément. Quand le grand plublic l'apprend, le scandale éclate et biensûr, la faute revint à la jeune fille et non à l'homme qui lui faisait des avances. Le jeune fille dût, une fois de plus, déménager.
Le jeune femme tombe sur un article dans un journal hollandais : "Officier hollandais basé aux Indes orientales recherche jeune fille d'agréable compagnie. Objet : mariage." La jeune Margaretha épouse donc, le 11 juillet 1895, le colonel Rudolf John MacLeod. Le couple s'installe à Java, en Inde. Ils eurent deux enfants : Norman-John, né le 30 janvier 1897, et Jeanne-Louise, née le 2 mai 1898.
Le bonheur fut toutefois de courte durée. McLeod était un alcoolique aux tempéremment violent, qui multipliait les infidèlités. Cette époque fut une plaque tourante dans sa vie. Sans doute pour fuire un mariage malheureux, la jeune femme étudie avec passion pendant plusieurs mois la culture indonésienne. Elle apprend la religion indou, la danse, les coutumes, la langue. Elle fait même partie d'une troupe de danse locale. C'est à ce moment qu'elle choisi son nom de scène, nom sous lequel elle sera connue plus tard : Mata Hari, ce qui signifie "l'oeil du jour" (le soleil).
Peu après, un malheur s'abat sur la famille : dans la nuit du 27 juin 1899, leur fils Norman-John meure à leur résidence. L'enfant est probablement mort des suites de la syphilis...même si les parents ont toujours affirmé qu'il avait été empoisonné par un serviteur en colère contre l'officier. Quelques sources révèlent qu'il y aurait eu complot pour tuer les deux enfants, mais rien ne fut prouvé en ce sens.
Le couple, la mort dans l'âme, retourne aux Pays-Bas en 1902 et ne survécut pas à la perte de leur fils : ils divorcent en 1906. Sans le sous, Margaretha dû accorder la garde de leur fille Jeanne-Louise (surommée Non en Inde).
Margaretha a le coeur brisé. Elle se retrouve pauvre, sans mari, sans enfant, sans maison, sans travail. Elle rêve d'un nouveau départ...elle se met à rêver de Paris!
...la suite bientôt!
De nos jours, le nom de Mata Hari est synonyme de mystère, d'espionnage, d'intrigues et de sensualité.
Margaretha Geertruida Zelle est née aux Pays-Bas le 7 août 1876. Elle était la seule fille dans une famille de 4 garçons. Ses cheveux noirs d'ébène, ses yeux noirs et son teint olivâtre contrastaient avec ceux de la majorité des autres habitants de son pays, réputés blonds aux yeux bleus. Sa famille la surnommait M'Greet.
Elle vécut son enfance dans un milieu relativement aisé, son père étant propriétaire d'un lucratif magasin de chapeaux. Petite fille à son papa, il l'adorait et l'appelait son "orchidée parmi les boutons d'or".
Malheureusement, Adam Zelle (son père) fait faillite en 1889 suite à de mauvais placements à la Bourse. S'en suivit un divorce et tristement, du décès de sa mère en 1891. Sa mère décédée et son père parti à Amsterdam pour se "reconstruire", la jeune Margaretha s'installe chez son parain.
Dans sa nouvelle ville, Margaretha étudie pour devenir institutrice. Par contre, elle doit quitter l'établissement lorsque le propriétaire se met à la flirter impunément. Quand le grand plublic l'apprend, le scandale éclate et biensûr, la faute revint à la jeune fille et non à l'homme qui lui faisait des avances. Le jeune fille dût, une fois de plus, déménager.
Maintenant âgée de 18 ans, il était naturel pour Margaretha de penser au mariage. Elle avait atteint la taille respectable de 5'10" (grand pour l'époque); ceci rebutait les éventuels soupirants, à une époque où l'on considérait que l'homme devait obligatoirement être plus grand que la femme. Elle avait également un autre désavantage vis-à-vis les critères de beauté de l'époque : elle avait une très petite poitrine. Elle était pourtant jolie, et son air exotique était considéré très attrayant aux yeux de bien des hommes.
Le jeune femme tombe sur un article dans un journal hollandais : "Officier hollandais basé aux Indes orientales recherche jeune fille d'agréable compagnie. Objet : mariage." La jeune Margaretha épouse donc, le 11 juillet 1895, le colonel Rudolf John MacLeod. Le couple s'installe à Java, en Inde. Ils eurent deux enfants : Norman-John, né le 30 janvier 1897, et Jeanne-Louise, née le 2 mai 1898.
Le bonheur fut toutefois de courte durée. McLeod était un alcoolique aux tempéremment violent, qui multipliait les infidèlités. Cette époque fut une plaque tourante dans sa vie. Sans doute pour fuire un mariage malheureux, la jeune femme étudie avec passion pendant plusieurs mois la culture indonésienne. Elle apprend la religion indou, la danse, les coutumes, la langue. Elle fait même partie d'une troupe de danse locale. C'est à ce moment qu'elle choisi son nom de scène, nom sous lequel elle sera connue plus tard : Mata Hari, ce qui signifie "l'oeil du jour" (le soleil).
Peu après, un malheur s'abat sur la famille : dans la nuit du 27 juin 1899, leur fils Norman-John meure à leur résidence. L'enfant est probablement mort des suites de la syphilis...même si les parents ont toujours affirmé qu'il avait été empoisonné par un serviteur en colère contre l'officier. Quelques sources révèlent qu'il y aurait eu complot pour tuer les deux enfants, mais rien ne fut prouvé en ce sens.
Le couple, la mort dans l'âme, retourne aux Pays-Bas en 1902 et ne survécut pas à la perte de leur fils : ils divorcent en 1906. Sans le sous, Margaretha dû accorder la garde de leur fille Jeanne-Louise (surommée Non en Inde).
Margaretha a le coeur brisé. Elle se retrouve pauvre, sans mari, sans enfant, sans maison, sans travail. Elle rêve d'un nouveau départ...elle se met à rêver de Paris!
...la suite bientôt!
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